Conseils au jardin

Conseils au jardin

16 octobre 2025

Jardin partagé : comment concilier bien-être et lien social avec un aménagement collectif ?

Un jardin partagé est un espace vert collectif conçu pour être cultivé et entretenu par plusieurs personnes. Il rassemble les habitants d’une même copropriété, d’un quartier ou d’une entreprise puisque chacun peut participer aux travaux de plantation et d’aménagement.

Ce type d’aménagement repose sur une gestion collaborative car les règles et décisions sont prises ensemble par les usagers. Le jardin devient alors une extension du cadre de vie commun, pensé comme un espace extérieur géré collectivement.

Mais comment aménager un jardin communautaire afin d’allier convivialité, bien-être et praticité ? Création, mobilier, accessoires, entretien… Dans cet article, LNP Paysage, paysagiste dans le Bas-Rhin, vous en dit plus sur la conception d’espaces conviviaux. 

Les intérêts du jardin partagé dans un espace collectif

La création d’un jardin partagé favorise d’abord la convivialité, car il encourage les occupants à se retrouver régulièrement autour d’activités communes. Il transforme ainsi un simple espace extérieur en lieu vivant où les liens sociaux se renforcent naturellement avec le temps.

Ce type d’aménagement améliore aussi le cadre de vie puisque les espaces collectifs deviennent agréables et esthétiques. Le jardin valorise une résidence ou une entreprise et offre un environnement apaisant qui profite aux habitants, collaborateurs et visiteurs !

Il encourage enfin une dynamique collective : chacun peut en effet participer selon ses compétences ou envies. Cet espace devient ainsi un projet collaboratif qui suscite implication et sentiment d’appartenance au sein d’une copropriété, d’un quartier ou d’une entreprise.

les intérêts d’aménager un jardin partagé

Mobilier de jardin et aire de jeux pour favoriser la convivialité

Le mobilier de jardin constitue un élément central : il rend l’espace extérieur accueillant et pratique. Ainsi, l’installation de bancs en bois ou la création d’allées incite voisins ou collègues à se retrouver et favorise naturellement la convivialité dans un jardin partagé

L’ajout de tables de pique-nique encourage aussi les échanges lors de repas, ateliers ou discussions. Ce mobilier transforme une parcelle en véritable lieu de rencontre puisque les occupants disposent d’un cadre fonctionnel pour partager des moments agréables.

Enfin, le mobilier peut inclure des aires de jeux pour les enfants, comme des toboggans, balançoires, portiques ou structures ludiques. Ainsi, le jardin devient un espace adapté à toutes les générations, favorisant rencontres et activités intergénérationnelles.

Pergola, tonnelle et abri : entre ombrage et protection

Les coins ombragés s’appuient principalement sur des structures comme une pergola, une tonnelle ou un auvent. Ces installations offrent des zones abritées en cas de pluie ou de forte chaleur pour une aire de pique-nique ou un coin détente avec assises et hamacs.

Les arbres restent également un élément clé pour apporter ombre et fraîcheur. Placés judicieusement, ils structurent l’espace et contribuent à l’esthétique du jardin partagé. Ces plantations participent ainsi à l’organisation générale des lieux.

Enfin, un abri de jardin permet de stocker du matériel de jardinage ou des accessoires. Ainsi, le jardin reste organisé et fonctionnel, et les équipements sont facilement accessibles et bien protégés lorsqu’ils ne sont pas utilisés !

Le rôle du potager partagé dans la vie collective

Le potager partagé permet aux habitants de cultiver plantes aromatiques, fruits et légumes à plusieurs. Cet espace favorise l’échange de savoir-faire et stimule la coopération au sein de la copropriété ou du quartier puisque chacun participe selon ses compétences et envies.

De plus, un jardin potager encourage les habitants à se rencontrer régulièrement, et devient un lieu d’apprentissage et d’animation. Petits et grands peuvent observer la croissance des plantes et partager les récoltes dans un cadre convivial et éducatif. 

À la manière d’un jardin ouvrier, il renforce le sentiment d’appartenance à la communauté. Les activités collectives liées au jardinage créent des moments d’échange et d’entraide, et deviennent un véritable moteur de cohésion sociale entre voisins.

Vous aimeriez aménager un jardin partagé dans votre copropriété ou votre entreprise ?

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Jardins partagés et durabilité : un duo gagnant

Les jardins partagés permettent de planter différentes espèces végétales et d’attirer oiseaux, insectes ou pollinisateurs. Ces espaces deviennent ainsi des refuges naturels contribuant à l’équilibre écologique local et au bien-être des copropriétaires.

Ils encouragent aussi des pratiques respectueuses de l’environnement. Compostage, récupération d’eau de pluie, arrosage au goutte-à-goutte permettent de réduire l’empreinte écologique et renforcent directement la politique RSE d’une entreprise.

Enfin, l’installation d’hôtels à insectes, nichoirs, cabanes à oiseaux, bassin ou maçonnerie paysagère favorise la biodiversité. Ainsi, les enfants peuvent observer la faune locale tout en participant aux activités, ce qui rend le jardin pédagogique et attractif…

Réussir un projet de jardin partagé en copropriété ou en entreprise

La réussite d’un jardin commun repose d’abord sur une concertation collective. En copropriété, un règlement commun définit les usages, tandis qu’en entreprise, un comité de volontaires peut gérer le calendrier, l’entretien et la répartition des espaces.

Un entretien du jardin régulier est aussi indispensable pour assurer la pérennité de l’extérieur. Arrosage, taille, désherbage ou rotation des cultures doivent être planifiés collectivement, afin que l’espace reste accueillant et fonctionnel tout au long de l’année !

Enfin, la mise en place d’activités régulières entretient la dynamique du projet. Ateliers de plantation, animations pour enfants ou pauses conviviales permettent de maintenir l’implication de tous, que le jardin soit installé en copropriété ou dans une entreprise.

étapes pour réussir la création d’un jardin collectif

Confier son projet de jardin collectif à un paysagiste

Un projet de jardin partagé mérite d’être pensé avec soin puisqu’il doit répondre aux besoins des usagers tout en restant durable. Un accompagnement professionnel par un paysagiste garantit un aménagement harmonieux, fonctionnel et adapté à chaque contexte collectif.

Expert en conception, aménagement et entretien de jardins ouvriers, familiaux et collectifs, LNP Paysage accompagne copropriétés, entreprises et collectivités. Chaque projet bénéficie d’une approche personnalisée qui favorise convivialité, biodiversité et bien-être…

Afin de garantir la qualité des installations, nous collaborons avec des fournisseurs reconnus. Heolians propose des pergolas modernes, Artepot fournit des jardinières esthétiques et Braun & Würfele conçoit des brise-vues et brise-vents, adaptés aux aménagements collectifs.

Basée à Marlenheim, notre entreprise du paysage est spécialiste en aménagement de jardin collectif à Strasbourg et dans le Bas-Rhin. Nos jardiniers paysagistes interviennent à Benfeld, Vendenheim, Obernai, Marlenheim, Erstein, Barr, Wasselonne, Bischheim, Haguenau, etc.

Vous souhaitez être accompagné dans votre projet de jardin collectif ?

Les équipes de LNP Paysage sont à votre écoute !

Questions fréquentes sur le jardin partagé

1. Quels sont les avantages d’un jardin communautaire pour une copropriété ?

Les jardins communautaires apportent convivialité, bien-être et lien social car ils encouragent les rencontres entre voisins et crée un cadre de vie agréable.

2. Qui peut participer à l’aménagement d’un jardin collectif ?

Collègues, familles et co-propriétaires peuvent participer puisque ce type d’espace favorise l’inclusion intergénérationnelle et permet à chacun d’apporter ses idées ou savoir-faire.

3. Comment entretenir un jardin partagé ?

L’entretien d’un jardin partagé peut être organisé collectivement, mais il est conseillé de confier certaines tâches à un paysagiste afin de garantir un résultat durable.

4. Un jardin collectif peut-il favoriser la biodiversité ?

Oui, car il permet la plantation d’arbres, de fleurs locales et de potagers, ce qui attire insectes pollinisateurs et enrichit l’écosystème de la copropriété.

5. Quels aménagements conviennent le mieux à un jardin partagé ?

Des bancs, des potagers collectifs, des zones ombragées et des espaces de jeux conviennent parfaitement. Ils favorisent en effet détente, échanges et convivialité.

6. Pourquoi faire appel à un paysagiste pour créer un jardin partagé ?

Un paysagiste conçoit un aménagement intelligent : il prend en effet en compte les besoins des habitants et assure la durabilité du projet de jardin partagé.

Conseils au jardin

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25 septembre 2025

Comment concevoir un jardin autonome avec des solutions naturelles ?

Un jardin autonome est un espace conçu pour fonctionner presque seul, avec un minimum d’interventions humaines. Il repose sur des méthodes naturelles qui permettent de réduire l’entretien, d’économiser les ressources et de préserver la santé des végétaux.

Contrairement à un jardin classique, il s’autorégule grâce à la qualité du sol, à l’humidité conservée et aux apports naturels de matière organique. Il devient ainsi moins dépendant des arrosages fréquents, des engrais chimiques et des désherbages intensifs.

Mais comment créer un jardin résilient ? Techniques d’irrigation naturelle, paillage, compost, permaculture… Dans cet article, LNP Paysage, paysagiste dans le Bas-Rhin, vous partage conseils et astuces pour concevoir un jardin écologique et à entretien limité !

Les techniques d’économie d’eau, un pilier du jardin autonome

La récupération d’eau de pluie constitue une solution essentielle pour un jardin autonome. Stockée dans des cuves, elle permet d’arroser naturellement vos plantations. Vous réduisez ainsi votre consommation d’eau et bénéficiez d’une réserve accessible en cas de sécheresse.

L’arrosage goutte-à-goutte diffuse l’eau directement aux racines des plantes. Cette méthode économique limite le gaspillage et favorise une humidité constante du sol. Elle réduit aussi les arrosages fréquents et participe pleinement à l’autonomie et au confort d’entretien…

Les oyas (ou ollas), pots en argile enterrés, diffusent l’eau lentement selon les besoins des plantes. Cette poterie d’irrigation se plante dans un massif ou un potager. Elle conserve l’humidité de la terre, améliore la santé des végétaux et nécessite très peu d’entretien une fois installée.

 les techniques d’arrosage écologique pour économiser l’eau

Le paillage pour protéger et nourrir le sol

Le paillage organique est une autre pratique indispensable dans un jardin résilient. Placé au pied des plantes, il conserve l’humidité, limite la pousse des mauvaises herbes et réduit la fréquence des arrosages. Il allège donc considérablement le travail d’entretien quotidien !

En se décomposant, le paillage organique enrichit naturellement le sol en matière organique. Il améliore sa structure, stimule la vie souterraine et favorise la fertilité durable. Cette ressource simple transforme ainsi chaque espace en un sol vivant plus autonome et productif.

Les matériaux de paillage organique sont variés : copeaux de bois, paille, feuilles mortes ou encore tontes de gazon séché. Chacun offre des avantages spécifiques, mais tous contribuent à protéger le sol efficacement et à renforcer l’équilibre du jardin.

Le compost, une ressource clé pour un sol fertile

Le compost transforme les déchets organiques en un amendement naturel et riche. Dans un jardin autonome, il nourrit le sol, stimule les micro-organismes et améliore la croissance des plantes. Il réduit également la dépendance aux engrais chimiques coûteux.

Facile à produire, le compost permet de recycler les épluchures de cuisine, les tontes de gazon ou encore les feuilles mortes. Ce processus circulaire valorise les déchets, limite leur volume et participe donc activement à l’autonomie et à la durabilité du jardin.

Un compost bien équilibré repose sur un mélange de matières vertes (épluchures et gazon) et brunes (feuilles et branchages). En maintenant une bonne aération et une humidité suffisante, vous obtiendrez alors un humus fertile pour nourrir vos plantes…

Les plantes résistantes et adaptées à un jardin autonome

Un jardin durable privilégie les plantes capables de s’adapter naturellement au climat local. Les vivaces ornementales comme les lavandes, les iris ou les hémérocalles nécessitent peu d’entretien et apportent une floraison durable, même avec un arrosage limité.

Les arbustes, tels que les lilas, les spirées ou les forsythias, s’intègrent également à ce type de jardin. Ils demandent peu de soins, structurent l’espace et contribuent à un jardin fleuri sans nécessiter d’interventions régulières, tout en s’adaptant aux aléas climatiques.

Les plantes couvre-sol, comme le pervenche, le géranium vivace ou le millepertuis, limitent naturellement la pousse des mauvaises herbes. Elles conservent aussi l’humidité du sol, ce qui réduit les besoins en arrosage et allège considérablement l’entretien quotidien.

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Associer permaculture et autonomie au jardin

La permaculture s’intègre naturellement dans un jardin autonome. Elle privilégie des plantations complémentaires qui s’aident entre elles. Par exemple, les légumes grimpants comme les haricots s’appuient sur le maïs, tandis que les courges couvrent le sol.

Cette méthode favorise aussi les haies fruitières et arbustes comestibles comme les framboisiers, groseilliers ou cassissiers. Ils créent de l’ombre, attirent les pollinisateurs et produisent des récoltes variées. Le jardin gagne alors en productivité et reste équilibré…

La permaculture encourage enfin la mise en place de zones potagères diversifiées avec tomates, salades et plantes vivaces. Cette diversité réduit les risques de maladies, assure une récolte continue et rend l’entretien beaucoup plus simple et autonome.

Favoriser la biodiversité pour augmenter la résilience du jardin

Un jardin autosuffisant gagne enfin en résilience grâce à la biodiversité. Installer des nichoirs pour oiseaux, des hôtels à insectes ou un tas de pierres permet de protéger la faune utile. Ces auxiliaires régulent en effet naturellement les nuisibles et enrichissent l’écosystème.

Planter des fleurs mellifères comme le trèfle, la bourrache ou la lavande attire abeilles, papillons et autres pollinisateurs. Les cultures sont ainsi mieux fécondées et le jardin devient plus productif, tout en limitant l’intervention humaine.

Encourager la diversité des sols et des micro-organismes contribue également à l’équilibre du jardin. Pratiquer la tonte raisonnée, accumuler du bois mort ou conserver des tas de feuilles crée des habitats, améliore la fertilité et contribue à un jardin moins dépendant !

solutions pour favoriser la biodiversité dans un jardin résilient

Aménager un jardin autonome avec un paysagiste 

Un paysagiste apporte une expertise précieuse pour concevoir un jardin autonome adapté à vos besoins. Grâce à son savoir-faire, il optimise l’espace, choisit des plantations résistantes et met en place des solutions durables afin de réduire l’entretien quotidien.

Spécialiste en création, aménagement et entretien de jardins autonomes, LNP Paysage accompagne chaque projet avec une approche sur mesure, intégrant à la fois esthétisme, écologie et praticité pour garantir un extérieur élégant et facile à vivre.

Pour réussir vos aménagements, nous collaborons enfin avec des partenaires de confiance. Ma Boite à Moustique propose une solution anti-moustique respectueuse de l’environnement, la Pépinière Lepage fournit des plantes de qualité, et Cubik est expert en maçonnerie paysagère.

Notre entreprise du paysage située à Marlenheim dans le Bas-Rhin vous accompagne pour créer votre jardin écologique à Strasbourg et les alentours. Nos jardiniers paysagistes interviennent à Truchtersheim, Hœrdt, Benfeld, Marlenheim, Vendenheim, Erstein, Sélestat…

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Les équipes de LNP Paysage sont à votre écoute !

Questions fréquentes sur le jardin autonome

1. Comment rendre un jardin vraiment autonome ?

Un jardin devient autonome lorsqu’il utilise des techniques comme la récupération d’eau, le compost et le paillage. Ces pratiques limitent en effet l’entretien et améliorent la fertilité naturellement.

2. Quel paillage choisir pour un jardin autonome ?

Le paillage idéal dépend du sol et des plantes. Préférez un paillage organique comme les copeaux de bois, la paille ou les feuilles mortes car ils protègent et nourrissent le sol.

3. Le compost est-il obligatoire pour l’autonomie du jardin ?

Le compost n’est pas obligatoire mais fortement recommandé. Il enrichit le sol, limite les déchets organiques et favorise une meilleure croissance des végétaux.

4. Peut-on créer un potager autonome ?

De même que le jardin, un potager autonome est possible car il repose sur la permaculture, l’arrosage économe et la fertilisation naturelle grâce au compost.

5. Est-ce qu’un jardin autonome limite réellement l’entretien ?

Un jardin autonome nécessite d’abord quelques aménagements mais les solutions naturelles facilitent ensuite sa gestion quotidienne.

6. Comment entretenir un jardin autonome au quotidien ?

Pour entretenir un jardin autonome, il est essentiel de surveiller régulièrement l’état du sol et des plantes : arrosez avec parcimonie, ajoutez du compost si nécessaire et surveillez la croissance naturelle des végétaux.

Conseils au jardin

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11 septembre 2025

Les erreurs à éviter pour entretenir son jardin en automne

Le jardin en automne mérite une attention particulière car cette saison détermine l’équilibre de vos extérieurs au printemps. Entretenu correctement, il conserve vitalité et esthétisme. Certains gestes inadaptés fragilisent cependant vos plantes, sols et espaces verts.

Les feuilles mortes, la pelouse, le potager et les plantations nécessitent des soins spécifiques. Alors que l’automne semble une période de repos pour le jardin, elle conditionne pourtant la préparation de l’hiver et influence directement la reprise végétale future.

Mais comment bien entretenir son jardin durant cette saison ? Taille des haies, arrosage des végétaux, tonte du gazon, préparation du potager… Dans cet article, LNP Paysage, paysagiste dans le Bas-Rhin, vous partage les erreurs fréquentes à éviter en automne.

L’importance de l’entretien du jardin en automne

L’entretien d’un jardin en automne prépare directement votre extérieur pour l’hiver car les plantes stockent leurs réserves. Un sol bien travaillé conserve l’humidité et améliore la reprise au printemps, ce qui garantit une croissance saine et équilibrée.

Cette saison est décisive puisqu’elle offre une période favorable aux plantations. Les racines s’enracinent profondément tandis que la terre reste encore souple. Les arbres, arbustes et fleurs bénéficient ainsi d’un meilleur départ dès le retour des beaux jours !

L’automne permet également de corriger les déséquilibres accumulés pendant l’été. Scarifier sa pelouse, apporter du compost ou arroser judicieusement renforcent vos plantes. Ainsi, votre jardin reste en bonne santé, prêt à affronter le froid et l’humidité hivernale.

les intérêts d’entretenir son jardin en automne

Les erreurs fréquentes en taille d’automne

Tailler en automne reste essentiel mais une coupe trop sévère affaiblit les végétaux car elle stimule inutilement la repousse. Tailler trop court les hortensias ou les lilas par exemple les prive de leurs bourgeons floraux et réduit la floraison du printemps.

Beaucoup pensent qu’il faut rabattre toutes les plantes avant l’hiver : cette pratique perturbe cependant leur cycle naturel. Certaines espèces doivent en effet conserver leur feuillage pour se protéger ou leur tige comme réserve nutritive jusqu’au printemps.

Une taille trop tardive constitue également un problème fréquent. Couper juste avant les grands froids, expose directement les plaies aux gelées. Une intervention mal programmée réduit donc la vitalité des plantes et compromet la reprise printanière des jeunes pousses.

Mauvaises pratiques liées au ramassage des feuilles mortes

Les feuilles mortes jouent un rôle essentiel dans un jardin en automne car elles enrichissent naturellement le sol. Cependant, les laisser s’accumuler sans contrôle asphyxie la pelouse, favorise les maladies et rend le terrain glissant par temps humide.

Trop souvent, elles sont considérées comme des déchets à évacuer, alors qu’elles constituent une ressource précieuse. Elles retiennent l’humidité, limitent les mauvaises herbes et nourrissent la terre : elles peuvent donc servir de paillage protecteur pour vos massifs.

Pensez aussi à intégrer les feuilles mortes à votre composteur : vous obtiendrez un amendement riche pour vos plantations. Vous transformez ainsi un volume encombrant en ressource durable, bénéfique et respectueuse de l’environnement !

Mal gérer l’entretien de la pelouse en automne

Entretenir son jardin après l’été implique aussi de prendre soin de la pelouse. Négliger la tonte ou laisser l’herbe trop haute durant cette saison favorise en effet mousse et maladies. Une pelouse mal préparée risque ainsi de souffrir dès les premières gelées.

La scarification reste également essentielle car elle aère le sol et permet aux racines de mieux respirer. Cependant, scarifier trop tardivement ou trop intensément fragilise le gazon. En procédant correctement, vous stimulez une repousse vigoureuse au printemps.

Le choix de l’engrais est un autre point essentiel. Utiliser un engrais riche en azote à l’automne favorise trop la pousse, au lieu de renforcer le gazon pour l’hiver. Un apport équilibré, riche en potassium et phosphore, quant à lui, garantit un gazon dense, vert et résistant.

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Les erreurs de plantation en automne

Planter dans un jardin en automne permet aux racines de s’installer avant l’hiver. Cependant, certaines erreurs fragilisent les plantations. Planter trop tard par exemple expose les jeunes arbres et arbustes au gel, ce qui limite leur reprise au printemps…

Choisir des espèces inadaptées constitue une autre erreur fréquente. Certaines plantes ne supportent pas le froid ou l’humidité automnale. Évitez ainsi les plantes méditerranéennes comme l’olivier ou le laurier-rose et privilégiez des plantes locales ou résistantes.

Enfin, oublier de planter les bulbes de printemps et certaines vivaces est une erreur courante. Les mettre en terre à l’automne permet un enracinement optimal. Pensez à associer différentes espèces pour créer un jardin coloré, diversifié et plus résistant aux maladies.

Les pièges courants au potager en automne

Entretenir un jardin à l’automne inclut enfin le potager puisque cette période prépare la terre pour la saison suivante. Il convient tout d’abord de ne pas négliger la rotation des cultures. Ne pas planifier ses plantations épuise en effet le sol et favorise les maladies.

Semer des légumes inadaptés constitue un autre faux pas. Par exemple, les tomates, poivrons, aubergines ou concombres ne supportent pas les températures automnales. Privilégiez plutôt les épinards, choux ou radis pour garantir une récolte abondante ! 

Omettre la préparation du sol représente également une erreur fréquente. Le bêchage, le compost et le paillage améliorent la structure et la fertilité. De plus, associer certaines cultures réduit les risques de parasites et enrichit naturellement la terre.

l’entretien du potager en automne

Pourquoi confier l’entretien de son jardin en automne à un paysagiste ?

Faire appel à un jardinier paysagiste permet de garantir un entretien de jardin adapté et efficace. Ce professionnel connaît les gestes saisonniers essentiels et optimise le soin des sols, plantations et espaces verts pour préparer l’hiver.

Expert en soin de parcs et jardins, LNP Paysage intervient sur la taille des arbres, l’arrosage des plantes, la tonte du gazon et le nettoyage des massifs. Votre jardin bénéficie ainsi de conseils personnalisés et d’un suivi régulier tout au long de la saison.

Nous travaillons avec des fournisseurs de confiance, comme Sonnendrucker  et Pépinière Lepage. Nous sommes ainsi en mesure de vous fournir des végétaux de qualité, adaptés au climat et aux sols, garantissant des plantations durables et un jardin sain et esthétique…

Implantée à Marlenheim en Alsace, notre entreprise du paysage assure l’entretien de jardin à Strasbourg et les alentours. Nous intervenons notamment à Truchtersheim, Benfeld, Barr, Molsheim, Vendenheim, Obernai, Wasselonne, Illkirch-Graffenstaden, Saverne, Rosheim, etc.

Vous souhaitez être accompagné afin de préserver la beauté et santé de vos végétaux en automne ?

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Questions fréquentes sur l’entretien du jardin en automne

1. Quels travaux réaliser dans un jardin en automne ?

Un jardin en automne nécessite de tailler les arbustes, ramasser les feuilles et travailler le sol afin de préparer son extérieur pour l’hiver.

2. Pourquoi tondre la pelouse en automne ?

La tonte du gazon en automne reste importante car elle évite les maladies, limite la mousse et prépare une croissance vigoureuse des brins d’herbe au printemps.

3. Peut-on planter des arbres en automne ?

Oui, puisque l’automne favorise l’enracinement avant le froid. C’est donc une période idéale pour planter arbres et arbustes avec succès.

4. Que faire des feuilles mortes dans un jardin en automne ?

Les feuilles mortes peuvent enrichir le sol car elles servent au compost ou au paillage, mais il faut éviter de les laisser s’accumuler.

5. Comment protéger son potager en automne ?

Un potager en automne doit être paillé, car le sol reste protégé du froid, mais également enrichi avec compost et engrais organiques.

6. Faut-il arroser son jardin en automne ?

Même si les besoins des plantes diminuent, l’arrosage du jardin en automne reste nécessaire : certaines plantations exigent en effet encore une attention régulière.